Nouveautés
City.
In-4 en feuilles, emboitage en toile jaune illustré de l’éditeur (14 pp.). Textes illustrés par 4 photogravures et lithographies de Tony Soulié, toutes signées. Tirage justifié à 99 ex.
Né à Paris en 1955, Tony Soulié présente sa première exposition en 1977 et ses premières installations de land art à partir des années 80 sur l’Etna, le Vésuve, à Hawaii ou dans les déserts de l’ouest américain. Dans les années 90 il commence à utiliser la photographie comme support de ses peintures, associée à des images de mégalopoles, de paysages insulaires ou désertiques. « La peinture de Tony Soulié n’entonne nulle plainte. C’est une chevauchée sans commencement ni fin. Le tragique et le pathos s’effacent dans la saga de l’aventure aérienne. Le monde est là, il est partout, il est égal en beauté. » Patrick Grainville, La Cavale des totems.
Roller Poem.
Anvers, Guy Schraenen éditeur, 1977. Feuillet enroulé (22/120 cm), imprimé sur papier calque et présenté à l’intérieur d’un tube rhodoïd. Poème graphique tiré à 90 ex. datés, numérotés et signés. Rouleau en très bon état (rhodoïd à peine abimé).
Utsukushii Hoshi. (美しい星 – Une Belle étoile).
Tokyo, Shinchosha, 1962. In-8 cartonné, jaquette illustrée, obi, 298 pp.
Édition originale japonaise. Bon état.
Bara to Kaizoku (薔薇と海賊 – La Rose et le Pirate).
Tokyo, Shinchosha, 1958. In-8 cart., jaquette illustrée, obi, 158 pp.
Édition originale japonaise. Bon état.
Ongaku (音楽 – La Musique)
Tokyo, Chuo Koronsha, 1962. In-8 cartonné, jaquette illustrée, obi, 245 pp.
Édition originale japonaise. Bon état.
Nihon Bungaku Shoshi (日本文学小史 – Histoire de la littérature japonaise).
Tokyo, Kodansha, 1973. In-8 cartonné, boitier toilé, obi, 168 pp.
Édition originale japonaise. Bon état.
Bitoku no Yoromeki (美徳のよろめき – La Vertu chancelante).
Tokyo, Kodansha, 1957. In-8 cartonné, jaquette illustrée, obi, 265 pp.
Édition originale japonaise, bon état.
Kame wa usagi ni tsui hi tsuku ka (亀は兎に追ひつくか – Les Tortues poursuivent-elles les lapins ?)
Tokyo, Murayama Shoten, 1956. In-12 cartonné, jaquette illustrée, obi, 207 pp. Édition originale japonaise. Bon état.
Bilyptils.
Uzerche, Sixtus, collection ANA, 1989. In-16 en feuilles, couverture à rabat imprimée, chemise en papier bois, enchâssé dans un étui en bois, portant une étiquette de titre imprimée en noir (16 pp.). Portfolio contenant 16 par 10 lithographies originales en couleurs, imprimées par l’Atelier Jean-Michel Ponty. Tirage à 100 ex. numérotés et signés.
Miaou.
Uzerche, Sixtus, collection ANA, 1989. In-16 en feuilles, couverture à rabat imprimée, chemise en papier bois, enchâssé dans un étui en bois, portant une étiquette de titre imprimée en noir (16 pp.). Dissertation sur le miaulement du chat, illustrée par 10 lithographies originales, dont 6 hors-texte et 4 en doubles pages, imprimées par l’Atelier Jean-Michel Ponty. Tirage à 100 ex. numérotés et signés.
BF 15.
Uzerche, Sixtus, collection ANA, 1989. In-16 en feuilles, couverture à rabat imprimée, chemise en papier bois, enchâssé dans un étui en bois, portant une étiquette de titre imprimée en noir et en couleurs (20 pp.). Dissertation sur la pomme de terre, illustrée par 10 lithographies originales, dont 6 hors-texte et 4 en doubles pages, imprimées par l’Atelier Jean-Michel Ponty. Tirage à 100 ex. numérotés et signés.
Wha.
Uzerche, Sixtus, collection ANA n °1, 1989. In-16 en feuilles, couverture à rabat imprimée, chemise en papier bois, enchâssé dans un étui en bois, portant une étiquette de titre imprimée en noir (24 pp.). Analyse de l’aboiement du chien en 7 lithographies originales, dont 3 hors-texte et 4 en doubles pages, imprimées par l’Atelier Jean-Michel Ponty. Tirage à 100 ex. numérotés et signés.
Comète.
Uzerche, Sixtus, collection ANA, 1989. In-16 en feuilles, couverture à rabat imprimée, chemise en papier liège, enchâssé dans un étui en bois, portant une étiquette de titre imprimée en noir (28 pp. imprimées en verrt). Texte illustré par 12 lithographies originales hors-texte, imprimées sur papier rouge par l’Atelier Jean-Michel Ponty. Tirage à 100 ex. numérotés et signés.
L’enfance nue.
Scénario original et dialogues. Paris, Solange Vidaud (1968). In-4 br., couverture imprimée, 178 pp.
Exemplaire de collaborateur non commercialisé.
W ou le souvenir d’enfance.
Paris, Denoël, Les Lettres nouvelles, 1975. In-8 br., couverture illustrée, 220 pp. Édition originale avec envoi autographe "à Geneviève" (Serreau). Bon état.
Sans titre.
Collage original signé au crayon en marge Claude Pélieu-Washburn. Un coucher de soleil onirico-publicitaire avec apparitions de croissants de lune dans un ciel de traine. Bel encadrement noir (20,5/27 cm).
Douze lettres à Fautrier.
Paris, Paroles peintes (Odette Lazar-Vernet), 1975. In-4 en feuilles, couverture muette à rabats, emboitage de l’éditeur (56 pp.).
Édition originale illustrée par 16 eaux-fortes de Jean Fautrier. Tirage à 70 ex. numérotés, celui-ci un des 60 vergé. Bon état.
Henry Webb’s Hollywood.
Sérigraphie en noir sur couché blanc (43/29 cm).
Un curieux plan d’Hollywood réalisé en 1983 pour un magazine local gratuit.
Morálka 63 (la morale en 63).
Affiche originale tchèque de ce film de Rolf Thiele (42/30 cm).
Il avait tellement brassé et rebrassé sa mémoire que le fil le reliant à la réalité en était sectionné à plusieurs endroits (C. 164).
Technique mixte sur toile, monogramme et date (94-95) en bas à droite (73/50 cm). Il avait tellement brassé et rebrassé sa mémoire que le fil le reliant à la réalité en était sectionné à plusieurs endroits (C. 164).
Figure emblématique de la scène urbaine parisienne, adepte des pérégrinations et d’une « figuration délibérée », affichiste et commentateur flegmatique, Paella entoure souvent ses peintures de récits circulaires ou rectangulaires.
Repaires.
La Louvière, Le Daily-Bul, 2002. In-8 br. à l’italienne, couver-ture illustrée, boitier en toile de l’éditeur. Édition originale, un des 10 ex. de luxe contenant une eau-forte signée et rehaussée de Segui. Envoi.
La Cité des dieux.
Planche originale. Crayon rouge sur calque. Episode complet.
Déguisé en messager du dieu Ammon-Râ, le Dr Roy et ses neveux Claude et Luc s’introduisent par ruse à la cour du pharaon Memkaou XXVII pour essayer de faire libérer Estelle et de malheureux prisonniers en attente d’être sacrifiés sur les autels. tt
La Cité des dieux.
Planche originale, crayon rouge sur calque. Episode complet.
Déguisé en messager du dieu Ammon-Râ, le Dr Roy et ses neveux Claude et Luc s’introduisent par ruse à la cour du pharaon Memkaou XXVII pour essayer de faire libérer Estelle et de malheureux prisonniers en attente d’être sacrifiés sur les autels. tt
La Cité des dieux.
Planche originale. Crayon bleu sur calque. Episode complet. Vers 1940.
Déguisé en messager du dieu Ammon-Râ, le Dr Roy et ses neveux Claude et Luc s’introduisent par ruse à la cour du pharaon Memkaou XXVII pour essayer de faire libérer Estelle et de malheureux prisonniers en attente d’être sacrifiés sur les autels. tt
La Cité des dieux.
Planche originale. Crayon bleu et rouge sur calque. Episode complet. Vers 1940.
Déguisé en messager du dieu Ammon-Râ, le Dr Roy et ses neveux Claude et Luc s’introduisent par ruse à la cour du pharaon Memkaou XXVII pour essayer de faire libérer Estelle et de malheureux prisonniers en attente d’être sacrifiés sur les autels. tttt
Portrait de l'artiste.
Paris, E. – F. d’Alignan, 1919) Gravure sur bois imprimée en noir sur vélin blanc, signée et légendée en marge (55/37 cm). Premier autoportrait de Chana Orloff, réalisé peu après la disparition de son mari, le poète Ary Justman, emporté par la grippe espagnole en 1919.
Endeuillée, l’artiste se représentait sous un voile noir. L’œuvre avait été placée en clôture de l’album Bois gravés (tiré à 100 ex.), et devait compléter une galerie de dix portraits, dont celui de son fils (encore bébé) et de neuf amies, qui lui avaient toutes apporté leur soutien pendant cette période. Encouragée par le graveur Jean-Émile Laboureur, Chana Orloff avait également reçu le soutien de Gustave Kahn dans la revue les Feuillets d’art (Publications Lucien Vogel, juillet 1922). ttt
Tain de la mort.
Veilhes, Le Bouquet, 1971. In-16 en feuilles à l’italienne, couverture imprimée (30 pp.). Tirage à 50 ex. numérotés et signés, 1/ 10 Rives contenant une gravure de Pierre Fichet.
Porte.
Photographie originale, tirage argentique d’époque en noir et blanc, vers 1950. Encadrée (39/31 cm).
Dernières notes de service.
(Creil), Dumerchez, 2004. In-8 br., couverture illustrée à rabats, emboitage en toile grise, 83 pp.
Édition originale, un des 30 premiers contenant une encre originale signée de Laubiès.
Portrait d’une femme.
Photographie en noir et blanc tirée en surimpression, tirage argentique d’époque (vers 1960). Signée en bas à droite (17,1/23 cm).
Sans titre.
Collage original, vers 1960. Monogramme à l'encre noire entouré d'un rond en bas à droite (24,2/29,9 cm).
Lettre manuscrite adressée à Louis Scutenaire et à sa femme Irène Hamoir. Femme en costume.
Carte-photo en noir et blanc à paillettes de couleurs, vers 1890 (14/9 cm).
« 25 mai. Chère, très chère amie, très cher Scut, Pardon et plus que pardon de n’avoir pas fait signe. Non, chère Irène, je ne suis pas fâché. C’est vous qui devez m’en vouloir et j’ai honte. Le scénario est une merveille et vos lettres si gentilles ! Je me dégoûte ! Voici : Je me rends à Amsterdam… avec des amis (il y a une exposition surréaliste à Amsterdam). Nous partons samedi matin et passerons à Bruxelles (à peu près vers 3h) où nous passerons la nuit, afin de pouvoir dîner avec vous. Où nous retrouver ? Fixez-nous un rendez-vous – par retour du courrier ou télégraphiquement si le temps manque. Il faudrait rencontrer Magritte et Nougé. A samedi. Je suis content et Germaine aussi. Affection, Georges Hugnet. »
Hop.
Aquarelle originale sur feuille de carnet quadrillé, vers 1960 (21/26 cm).
Assistant de Vittorio de Sica en 1950, peintre à partir du début des années 50, Guy Harloff (Paris, 1933 – Galliate, 1991) expose ses premières œuvres en 1954. Un temps installé au Beat Hotel de la rue Gît-le-cœur, il se lie aux musiciens de jazz (dont Ornette Coleman et Jef Gilson, pour qui il illustre plusieurs pochettes de disques). Invité à Venise par Jean-Jacques Lebel et Alain Jouffroy en 1960 à l’Enterrement de la chose, il voyage en Europe, aux États-Unis et dans le Golfe Persique, participe à la Documenta 5 en 1972 et expose à New York et Milan (Waddell Gallery, Palazzo della Permanente, galeries Arturo Schwarz et Carini). Il meurt en 1991 d’une crise cardiaque à l’âge de 57 ans. (Voir Nicoletta Colombo, GuyHarloffartist.com et Bizarre n°28, Jean-Jacques Pauvert, 1963.)
Apocalypse.
Huile sur papier au format horizontal, contrecollée sur papier jaune, vers 1957 (12,5/50 cm). t
Assistant de Vittorio de Sica en 1950, peintre à partir du début des années 50, Guy Harloff (Paris, 1933 – Galliate, 1991) expose ses premières œuvres en 1954. Un temps installé au Beat Hotel de la rue Gît-le-cœur, il se lie aux musiciens de jazz (dont Ornette Coleman et Jef Gilson, pour qui il illustre plusieurs pochettes de disques). Invité à Venise par Jean-Jacques Lebel et Alain Jouffroy en 1960 à l’Enterrement de la chose, il voyage en Europe, aux États-Unis et dans le Golfe Persique, participe à la Documenta 5 en 1972 et expose à New York et Milan (Waddell Gallery, Palazzo della Permanente, galeries Arturo Schwarz et Carini). Il meurt en 1991 d’une crise cardiaque à l’âge de 57 ans. (Voir Nicoletta Colombo, GuyHarloffartist.com et Bizarre n°28, Jean-Jacques Pauvert, 1963.)
Les Mystères de Paris.
Paris, Éditions du Seuil, s. d. In-8 br., couverture imprimée rempliée, 57 pp.
Édition originale tirée à 210 ex. numérotés, contenant une pointe sèche originale de Jacques Villon.
Les Pieds nickelés, planche originale.
Encre de Chine et lavis de bleu sur papier, signée dans la dernière case, mention coul. n°28 en haut, vers 1930. Remontée sur une nouvelle feuille intégrant les phylactères, dessinés pour une nouvelle parution (32,5/25,1 cm).
Un stratagème pour confondre les forces de l’ordre… Certainement parue dans L’Épatant, qui publia la 1ère série des Pieds nickelés de 1908 jusqu’à la disparition de Louis Forton en 1934.t
Épreuve pour la Ballade du soldat.
Lithographie originale en couleurs sur vélin, titrée essai et signée au crayon en marge (38,2/27,5 cm). Élégant encadrement (53,3/42,4 cm).
L’illustration a été utilisée par la galerie Berggruen pour l’affiche de l’exposition consacrée à ce livre de Georges Ribemont-Dessaignes (publié à Vence par Pierre Chave en 1972).
Composition.
Gravure originale sur Chine, titrée essai et signée au crayon. Tirage exécuté pour la préparation de l'ouvrage "Maximiliana", réalisé avec Iliazd (Maximiliana ou l’exercice illégal de l’astronomie. Données d’Ernst Guillaume Tempel, mises en lumière par Iliazd, eaux-fortes et écritures automatiques de Max Ernst. 1964 – Paris Le Degré 41, imprimerie Union, 1964). Bel encadrement (13,5/6 cm). t
« Les astres, chez Iliazd, restent ces signes du destin qu’ils sont depuis que l’homme, du seuil de sa grotte a observé avec angoisse la chute d’une étoile. Les carnets intimes d’Iliazd sont remplis de cartes du ciel, d’horoscopes […]. L’astrologie, comme la numérologie, est la grande affaire qui occupera Iliazd pendant la vie solitaire qu’il s’est formée après l’échec de son incursion dans Dada jusqu’à sa résurrection grâce aux éditions d’art. […] Quand Iliazd découvrit Tempel, les persécutions qu’il subit, les conditions dans lesquelles il trouva l’étoile Maximiliana, nul doute qu’il vit en lui un frère de Monluc, de Roch Grey, de tous ces individus libres et laissés pour compte qu’il n’eut de cesse de célébrer. Mais il y vit aussi sûrement un signe reçu des astres. Pour définir poétiquement le langage d’outre-entendement, « zaoum », que lui et quelques autres avaient exploré dans leur jeunesse, les poètes de cette tendance l’appelaient souvent « langue des étoiles ». Cet appel des astres, il le transmit en offrant à Max Ernst d’illustrer son ouvrage. Hasard objectif, destinée inscrite dans les noms mêmes, pour Iliazd rompu au jeu des palindromes, il n’y avait pas d’hésitation: Max Ernst (anagramme de Stern, « l’étoile ») se devait d’orner les textes d’Ernst-Wilhelm Tempel sur l’étoile Maximiliana qui portait son prénom » (Régis Gayraud.)
Nu féminin.
Grand lavis original sur papier de carnet, signé et daté 53 en bas (31/44 cm).
Visages.
Esquisses dessinées au crayon sur une nappe de papier, signature en bas à droite, vers 1930. Taches, petites déchirures et traces anciennes de ruban adhésif, encadrement moderne en bois (40/48 cm).
Sans titre.
Cliché-verre original paraphé en bas à droite, vers 1985. Encadré (17,5/12,5 cm).
– Zut ! mais c’est ma jambe !...
Encre de Chine sur papier signée en bas à droite, vers 1930. Encadrement bois clair anti-U.V. (16,5/16,8 cm).
Composition avec apparition de chimères en mouvement.
Technique mixte sur feuille de calendrier promotionnel en papier glacé. Signée au crayon en bas à droite, vers 1980 (19,5/26,5 cm).
Composition avec apparition de silhouette féminine.
Technique mixte sur feuille de magazine signée au crayon en bas à gauche, vers 1970 (30,6/22,5 cm).
Le Retour de la conférence.
Photographie du tableau, tirage albuminé d’époque contrecollé sur carton, épreuve aux angles arrondis, photographe inconnu (15,5/24 cm).
Disparue à ce jour, l’œuvre aurait été acquise pour être détruite autour de 1900 par un catholique exalté. « Alors que l’opposition de l’artiste face au Second Empire est établie, l’épisode du tableau Le Retour de la conférence, en 1863, vient ajouter une dimension anticléricale au combat que mène alors le peintre contre les institutions. Représenter des curés ivres fait évidemment scandale. » (Carine Joly, Institut Gustave Courbet.) « Ce tableau fait rire tout le pays et moi-même en particulier. C’est le tableau le plus grotesque qu’on aura jamais vu en peinture. » écrivait l’artiste lui-même à Leon Isabey en 1862. « En vrai chef d’orchestre de la stratégie du scandale », Courbet avait aussi demandé à différents photographes de fixer l’œuvre sur plaque et sur papier. t
Ambiances.
In-4 en feuilles à l’italienne, couverture illustrée à rabats (28 pp.).
Édition originale illustrée par 3 lithographies et 5 gravures en couleurs de Xavier. Tirage à 42 ex. numérotés et signés sur Mandeure.
Soleil couchant.
Bois gravé en couleurs sur papier blanc. Signé et justifié 3/30 en bas à droite.
Dédicace à l’écrivain Jean Rousselot.
TWO MOVIES JAMES AND JOHN LYING DOLLS.
Painting poem, technique mixte signée sur vélin d’Arches. Collage rehaussé et texte à l’aquarelle calligraphié en noir (25,4/32,5 cm). t
Book, 58 dessins.
58 encres originales sur vélin au format 32/24 cm (dont 40 avec ajouts localisés aux crayons de couleur et 3 signées et datées 9-86) insérées dans un book en skaï gris texturé (35,5/29,2/3,8 cm).
Thème central : la ville, traitée par la dérision comme un univers totalitaire, obsédant ou sans mesures, dont les éléments contaminent tous les stades de la vie humaine : buildings largués comme des bombes, cuits dans une marmite, avalés dans un biberon, servis dans un bol, entre deux tranches de pain ou dans une coquille d’œuf, métamorphosés en gâteau d’anniversaire, en épis de maïs, clefs d’un trousseau, pelage de chien, caveau de famille, motifs de tricot, personnages de programme télévisé ou matière cervicale, recueillis dans un caddie de supermarché, dans une cage suspendue ou dans la hotte d’un père Noël , assaisonnés à la poêle, serrés dans une ceinture, dans une valise entrouverte ou s’échappant d’un rocher sur la mer, prolongeant les doigts d’une main ou chaussés dans une paire de baskets à trois bandes, flottant sur une rivière, renversés sur un échiquier ou par les tentacules d’une pieuvre autoroutière, sortant des entrailles d’une femme enceinte, de la main d’un jongleur ou d’un W. C. bouché. Le style : celui des grandes heures de l’illustration de presse des années 80, sous l’influence du Push pin studio de Milton Glaser et Seymour Chwast, habilement transposé en noir et blanc dans un imaginaire féminin, un peu médusé par ses propres visions, encore épargné par le grand dérèglement climatique. Un souvenir de l’ère pré-apocalyptique, très bel ensemble. t
Composition érotique.
Collage original sur Canson noir, signé en bas à droite (34,8/25 cm). t
Carte postale manuscrite envoyée à Janine et Raymond Queneau (Bologna e le Tre Specialità).
« Un souvenir de Bologna et de ses spécialités et un merci pour Battre la campagne que Roberta a beaucoup aimé. Je vais le lire de suite. A bientôt, Baj. »
Betty Page.
Photographie originale, tirage argentique en couleurs (postérieur), vers 1970 (25,4/20,4 cm).
Étoile marquante de la photographie érotique (ainsi que bondage, S. M. et fétichiste) au début des années 50, Bettie Page devint l’une des premières playmates du magazine Playboy sous l’objectif de Bunny Yeager, qui, lui consacra (avec des panthères) une séance au parc Africa USA de Boca Raton (Floride) en 1954. Diagnostiquée schizophrène paranoïaque et internée dans un asile psychiatrique de San Bernardino à 56 ans après avoir passé un diplôme de théologie pour devenir missionnaire, elle fut inculpée de tentative d’assassinat (puis jugée irresponsable) pour avoir poignardé le propriétaire de son logement de 27 coups de couteau. Devenue l’objet d’un culte underground en tant que porte-étendard de la libération sexuelle quelques décennies plus tard, elle mourut à Los Angeles des suites d’une crise cardiaque à l’âge de 85 ans.
Bettie Page.
Photographie originale, tirage argentique en couleurs (postérieur), vers 1970 (25,4/20,4 cm).
Étoile marquante de la photographie érotique (ainsi que bondage, S. M. et fétichiste) au début des années 50, Bettie Page devint l’une des premières playmates du magazine Playboy sous l’objectif de Bunny Yeager, qui, lui consacra (avec des panthères) une séance au parc Africa USA de Boca Raton (Floride) en 1954. Diagnostiquée schizophrène paranoïaque et internée dans un asile psychiatrique de San Bernardino à 56 ans après avoir passé un diplôme de théologie pour devenir missionnaire, elle fut inculpée de tentative d’assassinat (puis jugée irresponsable) pour avoir poignardé le propriétaire de son logement de 27 coups de couteau. Devenue l’objet d’un culte underground en tant que porte-étendard de la libération sexuelle quelques décennies plus tard, elle mourut à Los Angeles des suites d’une crise cardiaque à l’âge de 85 ans.
Bettie Page.
Photographie originale, tirage argentique en couleurs (postérieur), vers 1970 (25,4/20,4 cm).
Étoile marquante de la photographie érotique (ainsi que bondage, S. M. et fétichiste) au début des années 50, Bettie Page devint l’une des premières playmates du magazine Playboy sous l’objectif de Bunny Yeager, qui, lui consacra (avec des panthères) une séance au parc Africa USA de Boca Raton (Floride) en 1954. Diagnostiquée schizophrène paranoïaque et internée dans un asile psychiatrique de San Bernardino à 56 ans après avoir passé un diplôme de théologie pour devenir missionnaire, elle fut inculpée de tentative d’assassinat (puis jugée irresponsable) pour avoir poignardé le propriétaire de son logement de 27 coups de couteau. Devenue l’objet d’un culte underground en tant que porte-étendard de la libération sexuelle quelques décennies plus tard, elle mourut à Los Angeles des suites d’une crise cardiaque à l’âge de 85 ans. tt
Bettie Page.
Photographie originale, tirage argentique en couleurs (légèrement postérieur), vers 1970 (25,4/20,4 cm).
Étoile marquante de la photographie érotique (ainsi que bondage, S. M. et fétichiste) au début des années 50, Bettie Page devint l’une des premières playmates du magazine Playboy sous l’objectif de Bunny Yeager, qui, lui consacra (avec des panthères) une séance au parc Africa USA de Boca Raton (Floride) en 1954. Diagnostiquée schizophrène paranoïaque et internée dans un asile psychiatrique de San Bernardino à 56 ans après avoir passé un diplôme de théologie pour devenir missionnaire, elle fut inculpée de tentative d’assassinat (puis jugée irresponsable) pour avoir poignardé le propriétaire de son logement de 27 coups de couteau. Devenue l’objet d’un culte underground en tant que porte-étendard de la libération sexuelle quelques décennies plus tard, elle mourut à Los Angeles des suites d’une crise cardiaque à l’âge de 85 ans. t
Royal Orfeum.
A decemberl kolosszális ünnepi-müsor (Décembre est une fête colossale…) Affiche de théâtre hongroise imprimée en lithographie (95/30 cm).
Sculpture, tapisserie, grand choix de sièges antiques.
Photographie originale, tirage d’époque sur papier albuminé, vers 1920. Encadrement d’époque (12,2/17,2 cm).
Locomotive électrique, General Electric, Shenectady, N. Y.
Photographie sépia, tirage d’époque albuminé, monté sur un support cartonné, vers 1920 (25,5/33 cm).
Porte.
Photographie en noir et blanc, tirage argentique contrecollé sur bristol brun, vers 1920, timbre sec de l'artiste sur le bristol (29/23 cm).
La nuit est aussi une aube.
In-4 en feuilles, couverture illustrée à rabats (32 pp.).
Édition originale contenant 6 compositions en couleurs d’Himat imprimées en sérigraphie. Tirage à 75 exemplaires, tous signés par l’auteur et l’illustrateur.
Célébrations, essais.
Paris, Mercure de France, 1999. In-8 br., couverture imprimée à rabats, 350 pp.
Édition originale, 1/36 ex. de tête numérotés sur vélin pur chiffon. Parfait état.
Walt Disney à Buenos Aires.
Photographie en noir et blanc, tirage argentique de presse, vers 1955/60.
Tampon RKO au dos (19/20,8 cm). Étiquette de légende dactylographiée conservée : « Walt Disney (with banjo) is guest of honor at an abado given in Buenos Aires by Mrs. Molina Campos, wife of the noted Argentine caricaturist. »
H. Q. Kennedy, Magic Company.
Maquette originale promotionnelle sur panneau de carton, vers fin XIXème siècle, portrait photographique du magicien contrecollé en haut à gauche, mouillures (39,5/30 cm).
Brancardiers.
Lithographie originale imprimée en noir sur papier blanc, vers 1918, dédicacée à l’encre à l’éditeur Henri Jonquières (19,5/25,5 cm).
Temps de parole.
In-4 en feuilles, couverture muette rempliée, étui en toile (22 pp.).
Poèmes inédits illustrés par 4 gravures de Roger Bertèmes tirées par René Tazé. Tirage à 60 ex. numérotés et signés.
Retour à la normale. La femme au foyer… et l’homme se débrouille avec des petits boulots.
Encre originale sur papier, signée dans la composition, vers 1990 (21/29,6 cm).
Les Dieux.
Avignon, Collection Mémoires, 2003. In-4 en feuilles. Présenté dans une boite en carton. Poésies illustrées par une peinture originale en 4 volets dépliants.
Né à Paris en 1955, Tony Soulié présente sa première exposition en 1977 et ses premières installations de land art à partir des années 80 sur l’Etna, le Vésuve, à Hawaii ou dans les déserts de l’ouest américain. Dans les années 90 il commence à utiliser la photographie comme support de ses peintures, associée à des images de mégalopoles, de paysages insulaires ou désertiques. « La peinture de Tony Soulié n’entonne nulle plainte. C’est une chevauchée sans commencement ni fin. Le tragique et le pathos s’effacent dans la saga de l’aventure aérienne. Le monde est là, il est partout, il est égal en beauté. » Patrick Grainville, La Cavale des totems.
L'Impossible. Poème, manifeste.
Avignon, Collection Mémoires, 2004. In-4 br., couverture imprimée à rabats (44 pp.), présenté dans une boite en carton avec titre et justification, contenant également différents documents : lithographies originales en couleurs, 3 catalogues de la Galerie Van Der Planken d’Anvers (Haven), 1 triptyque imprimé en offset couleurs, 17 cartes postales, 5 cartons de l’atelier, 1 offset couleurs sur papier fin et 1 carton d’exposition au Grand Cordel mjc (Croquis pour le Chant de la carpe de Gherasim Luca). Tirage à 40 ex. numérotés et signés.
Né à Paris en 1955, Tony Soulié présente sa première exposition en 1977 et ses premières installations de land art à partir des années 80 sur l’Etna, le Vésuve, à Hawaii ou dans les déserts de l’ouest américain. Dans les années 90 il commence à utiliser la photographie comme support de ses peintures, associée à des images de mégalopoles, de paysages insulaires ou désertiques. « La peinture de Tony Soulié n’entonne nulle plainte. C’est une chevauchée sans commencement ni fin. Le tragique et le pathos s’effacent dans la saga de l’aventure aérienne. Le monde est là, il est partout, il est égal en beauté. » Patrick Grainville, La Cavale des totems.
Été.
Paris, Éditions Ermé, 1990. In-plano en feuilles. 8 sérigraphies originales, dont 1 sur double page. Tirage à 120 ex. numérotés et signés.
Né à Paris en 1955, Tony Soulié présente sa première exposition en 1977 et ses premières installations de land art à partir des années 80 sur l’Etna, le Vésuve, à Hawaii ou dans les déserts de l’ouest américain. Dans les années 90 il commence à utiliser la photographie comme support de ses peintures, associée à des images de mégalopoles, de paysages insulaires ou désertiques. « La peinture de Tony Soulié n’entonne nulle plainte. C’est une chevauchée sans commencement ni fin. Le tragique et le pathos s’effacent dans la saga de l’aventure aérienne. Le monde est là, il est partout, il est égal en beauté. » Patrick Grainville, La Cavale des totems.
U. S. A 1976, bicentenaire kit.
Sérigraphie signée sur vélin de Rives. Tirée du livre-objet USA 1976 Bicentenaire Kit, co-réalisé avec Michel Butor et publié par Le Club du Livre, Philippe Lebaud éditeur en 1975. Dimensions : 28/38 cm. Bon état
La Vérité de parole.
Paris, Mercure de France, 1978. Édition originale, envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot à sa femme Nadia.
Quarante-cinq poèmes de Yeats, suivis de La Résurrection.
Paris, Hermann, 1989. In-8 br., couverture verte imprimée à rabats, 218 pp. Édition originale. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia. Bon état.
L’Arrière-pays.
Genève, Skira, Les Sentiers de la création, 1992. In-8 br., couverture illustrée à rabats.
Ce qui fut sans lumière.
Paris, Mercure de France, 1987. In-8 br., couverture imprimée, 108 pp. Édition originale. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia. Bon état.
Le Nuage rouge, essai sur la poétique.
Paris, Mercure de France, 1977. In-8 br., couverture imprimée, 373 pp. Édition originale. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia.
La Longue chaîne de l’ancre.
Paris, Mercure de France, 2008. In-8 br., couverture imprimée, 256 pp. Édition originale. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia.
Début et Fin de la neige, suivi de Là où retombe la flèche.
Paris, Mercure de France, 1991. In-8 br., couverture imprimée, 63 pp. Édition originale, 1/3000 ex. numérotés sur chiffon de Lana. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia.
Lieu et Destins de l’image, un cours poétique au Collège de France, 1981 - 1993.
Paris, Seuil, La Librairie du XXème siècle, 1999. In-8 br., couverture imprimée, 277 pp. Édition originale, envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia.
Rue Traversière.
BONNEFOY (Yves). Rue Traversière. Paris, Mercure de France, 1977. Grand in-8 br., couverture imprimée, 113 pp. Édition originale, 1/15 vélin mat supérieur marqués H.C. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia. Bon état.
Dans le leurre du seuil.
Paris, Mercure de France, 1975 Grand in-8 br., couverture marron imprimées rempliées, 127 pp. Édition originale, 1/300 vélin supérieur marqués H.C. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia. Bon état.
Les Sept femmes de Gilbert le Mauvais, autre Heptaèdre.
Montpellier, Fata Morgana, Scholies, 1972. In-12 br., couverture jaune imprimée à rabats, 89 pp. 2 illustrations hors-texte en noir de Cesare Peverelli.
Portrait de l’artiste en jeune singe, caprriccio.
Paris, Gallimard, 1967. In-12 br., couverture imprimée à rabats, 233 pp. Édition originale, envoià Jean Blot et à sa femme Nadia. Dos bruni.
Histoire extraordinaire, essai sur un rêve de Baudelaire.
Paris, Gallimard, 1961. In-12 br., couverture imprimée, 262 pp. Édition originale, bel envoi : « Cher Alex, chère Nadia, merci, merci, merci pour toute cette moisson sur Freedomland. Je vais faire un montage de tout cela dans mon mobile. On passera peut-être à Genève à Pâques. Amitiés, Michel Butor, le 19 janvier 1961. » Dos un peu bruni.
La Terre intérieure.
Paris, Gallimard, 1976. In-8 br., couverture imprimée, 277 pp. Édition originale, ex. du S. P., envoi.
L’Homme dominé.
Paris, Gallimard, 1968. In-8 br., couverture imprimée, 224 pp. Édition originale, ex. du S. P., envoi.
Le Festin nu.
Paris, Gallimard, 1959. In-8 br., couverture imprimée, 254 pp. Première édition française, traduction d’Éric Kahane, un des 250 ex. H. C.
Erica, nouvelles.
Paris, Seuil, 1994. In-8 br., couverture imprimée, 206 pp. Édition originale, envoi à Jean Blot.
Le Virage.
Paris, Gallimard, 1972. In-12 br., couverture imprimée à rabats, 165 pp. Édition originale, ex. du S. P. avec envoi à l’écrivain Jean Blot.
6 810 000 litres d’eau par seconde, étude stéréoscopique.
Paris, Gallimard, 1965. In-4 br., couverture imprimée, 281 pp. Édition originale, ex. du service de presse. Envoi et aquarelle bleue : « Pour Alex et Nadia Blokh (Jean et Nadia Blot), ce livre qu’ils sauront lire et comprendre, aimer, faire lire, comprendre et aimer. Michel Butor, Paris, le 8 septembre 1965. » Dos bruni.
BUTOR (Michel). Mobile, étude pour une représentation des États-Unis.
Paris, Gallimard, 1962. In-4 br., couverture imprimée, 333 pp. Édition originale, ex. orné d’un timbre américain sur la page de titre avec envoi aux mêmes. Dos bruni.
Cantilena, poèmes catalans et traduction.
Toulouse, Barcelona, 1937. In-8 br., couverture imprimée rempliée, 139 pp. Édition originale, lithographie d’Aristide Maillol.
Oui pour les ouïes.
Paris, Éditions PSI, 1969. In-4 en feuilles, couverture rempliée illustrée par un multiple en liège signé (16 pp.). Poème typographique, lettriste et hypergraphique en couleurs, illustré par 5 linogravures originales. Tirage à 20 ex. numérotés et signés à la justification. Bon état.
Recommandation pour une servante.
Lettre manuscrite a. s. sur papier au chiffre, adressée à une inconnue, 3 pp. (11,4/17,8 cm). « Ste Mesme, 13 novbre, Madame, la cuisinière aimée Chepreaux a servi, en effet chez moi du 2 février 1882 au 9 novbre dernier. Elle m’a soigné avec zèle dans une sérieuse maladie ; elle fait une cuisine très suffisante, elle ne manque ni de propreté, ni d’une certaine économie et je n’aurais que du bien à dire d’elle, si, depuis un an et demi, son caractère déjà difficile ne s’était aigri jusqu’à causer dans ma maison du trouble et même des orages. Son humeur inquiète et sa langue dangereuse l’avaient brouillée avec mes plus anciens et éprouvés serviteurs, c’était la guerre en permanence. Elle ne rêvait que de sorties, dévotions (je ne l’en blâme pas) mais aussi confréries, conciliabules ; son jugement s’altérait ; partout des complots, des persécutions … une noire manie. Mon service en souffrait trop, j’ai dû me séparer d’elle. Peut-être chez vous , madame, à Paris qu’elle aime passionnément, se trouvera-t-elle plus calme et réussira-t-elle à vous satisfaire. Je le souhaite et vous prie, Madame, d’agréer l’assurance de mes sentiments distingués. A. Maquet. » Restaurations avec bandes de scotch aux plis.
Saynètes.
Dessin original à l’encre de Chine sur feuille blanche avec ajouts au collage. Légendes éparses, signature en bas à droite, vers 1905 (31,5/43 cm). Après avoir travaillé pour différents journaux illustrés (Le Pèle-mèle, Polichinelle, Le Sourire, Le Frou-frou), Moriss (1874-1963) a abandonné le dessin pour se consacrer au music-hall à partir de 1940. (Dico-Solo).
Je vis de mon cerveau…
Dessin original à l’encre de Chine sur bristol blanc, signé à la dernière case, vers 1905 (24/48 cm). Un interrogatoire de police qui tourne mal, suite à une interpellation pour état d’ivresse.
Une âme peu charitable.
Dessin original à l’encre de Chine sur feuille blanche, rehauts au crayon bleu, signature en bas à droite, vers 1905 (31/23,5 cm). Légende en forme de dialogue en bas de page : « Moi, Mossieu, pour ne pas encourager la paresse, je ne donne jamais rien aux mendiants. – Pas même un morceau de pain ? – Pas même l’heure, Mossieu… »
Propositions.
2 lettres manuscrites autographes signées, vraisemblablement adressées à Émile Berr du Figaro, 1 p. chaque, sur feuilles à entête de la Revue des Deux mondes. « Paris, le 24 Janvier 1896, Cher Monsieur, J’aurai dans le prochain numéro XX* des choses très intéressantes, je le crois, pour le Figaro, mais l’auteur tiendrait, et moi aussi, qu’au cas où il vous conviendrait d’en faire un extrait dans le Figaro du 31 janvier, 24 heures avant la Presse, cet extrait fut en bonne place. Bien à vous, F. Brunetière. » « Paris, le 10 Juin 1896, Mon cher confrère, Dans sa livraison du 15 Juin la Revue publiera la suite de l’étude de Mr Etienne Lamy sur Le Quatre septembre. Il s’y trouve un très beau portrait de Jules Simon ante mortem, d’une ressemblance entière, et si je ne me trompe, d’une remarquable finesse de touche. Voulez-vous que je vous l’envoie pour le publier dans le Figaro de samedi matin, qui sera sans doute le jour des obsèques de XX *. S’il vous plait, et croyez-moi votre bien dévoué F. Brunetière. »
Remerciements.
Lettre manuscrite autographe signée adressée à Émile Berr du Figaro, 1 p. écrite à l’encre noire sur papier à entête du de la Bibliothèque de l’Arsenal, datée du 26 mars 1895. « Monsieur, C’est vous sans doute, qui, en l’absence de M Périvier fait passer mon article sur les Lettres de cachet en blanc. Je vous en remercie. Est-ce aussi vous que je dois remercier du changement fait au début et du charmant trait qui y a été piqué. La prochaine fois que j’irai au Figaro, je prierai M Périvier de vouloir bien me faire faire votre connaissance et vous prie, d’ici là, de vouloir bien agréer l’expression de mes sentiments les plus distingués. Frantz Funck-Brentano. » Feuille un peu froissée.
A propos du Musée de la guerre des Invalides.
Lettre manuscrite autographe signée, vraisemblablement adressée à Émile Berr du Figaro, 2 pp. écrites à l’encre noire. « Cher confrère, J’ai lu dans le Figaro le bel article que vous avez consacré au Musée militaire et vous adresse tous mes remerciements en même temps que mes sincères félicitations pour la façon si nette et si juste dont vous avez rendu notre XX *. Pardonnez-moi cette expression ambitieuse, mais je vous assure qu’elle est sincère. Le général XX, après avoir lu l’article m’a envoyé un télégramme pour me dire combien il était ravi ! L’affaire a été confiée par le ministre à un officier très peu cocardier qui n’a rien compris au but du musée et qui a conclu d’une façon peu favorable. L’idée n’a pas été enterrée, loin de là : mais on nous offre un local modeste dans les combles, aux Invalides, et pas un centime ! J’irai directement et out droit au ministre : votre article va faire du bruit et soutenir l’idée. Merci encore cher Monsieur, et croyez à mes sentiments de cordialité. Edmond Detaille. »
Défection.
Lettre manuscrite autographe signée certainement adressée à Émile Berr du Figaro, 1 p. écrite à l’encre violette. « Paris, ce 24 janvier 97. Mon cher ami, Je viens de recevoir une aimable invitation du Figaro pour l’annonce du 2 Février. J’aurais été heureux de m’y rendre, mais partant ce jour-là pour ma solitude de St Aigulf au bord de la Méditerranée, il m’est impossible d’y assister. Je tiens à vous remercier et à vous dire mes regrets. Bien sincèrement à vous, Carolus-Duran. »