Nouveautés
Retour à la normale. La femme au foyer… et l’homme se débrouille avec des petits boulots.
Encre originale sur papier, signée dans la composition, vers 1990 (21/29,6 cm).
L’Humour est la danse sur le volcan ; Élucubration.
Strasbourg, Baby Lone, 1986. Portfolio in-4 à l’italienne en toile bicolore, titre sur le 1er plat (6 pp. découpées en diagonale contenant les 2 textes et la justification). En regard : 4 sérigraphies en couleurs signées de Jean-Claude Forest, dans un compartiment. Conception : Daniel Sardet. Tirage à 126 ex.
Corrida.
Paris, Éditions Arichi, 2017. In-4 en feuilles. 6 peintures originales sur photographies imprimées, toutes signées. Tirage limité à 20 ex. numérotés et signés.
Né à Paris en 1955, Tony Soulié présente sa première exposition en 1977 et ses premières installations de land art à partir des années 80 sur l’Etna, le Vésuve, à Hawaii ou dans les déserts de l’ouest américain. Dans les années 90 il commence à utiliser la photographie comme support de ses peintures, associée à des images de mégalopoles, de paysages insulaires ou désertiques. « La peinture de Tony Soulié n’entonne nulle plainte. C’est une chevauchée sans commencement ni fin. Le tragique et le pathos s’effacent dans la saga de l’aventure aérienne. Le monde est là, il est partout, il est égal en beauté. » Patrick Grainville, La Cavale des totems.
Sans titre.
Composition surréaliste. Lithographie originale imprimée en couleurs. Justifiée 35/40, signée et datée 1980 en bas (30/23,4 cm).
Femme (de la série Jeux d’adultes).
Lithographie originale imprimée en couleurs sur Arches, signée et justifiée 6/100 au crayon en bas à droite. Imprimée par Mourlot pour Lahumière vers 1968 (quelques petites rousseurs) (50,6/65,8 cm).
Composition.
Encre, huile et collage sur papier, signée et datée 1962 en bas à droite. Encadrée (14,6/21 cm).
H. Q. Kennedy, Magic Company.
Maquette originale promotionnelle sur panneau de carton, vers fin XIXème siècle, portrait photographique du magicien contrecollé en haut à gauche, mouillures (39,5/30 cm).
Je crache sur le Christ inné. Être christ n’est pas être Jésus Christ.
Paris, Abstème et Bobance, 2001. In-12 br., jaquette illustrée (couverture insolée) 43 pp.
Édition originale numérotée.
Brancardiers.
Lithographie originale imprimée en noir sur papier blanc, vers 1918, dédicacée à l’encre à l’éditeur Henri Jonquières (19,5/25,5 cm).
Autoportrait.
Huile sur carton, signée et datée 1983 en noir en bas à droite (37,5/45,7 cm).
Collaborateur d’Alberto Giacomet à la fin de sa vie, proche de Bacon, Picasso et Marie-Laure de Noailles, Horacio Cordero (Buenos Aires, 1945, Monaco, 2014) a été l’un des représentants du mouvement de la Transvanguardia, avec Sandro Chia, Francesco Clemente et Enzo Cucchi.
Il Astrologo.
Technique mixte sur papier, signée, titrée et datée 1978 en bas à gauche (39/36 cm).
Collaborateur d’Alberto Giacomet à la fin de sa vie, proche de Bacon, Picasso et Marie-Laure de Noailles, Horacio Cordero (Buenos Aires, 1945, Monaco, 2014) a été l’un des représentants du mouvement de la Transvanguardia, avec Sandro Chia, Francesco Clemente et Enzo Cucchi.
Il Gondoliere.
Huile sur toile signée en bas à gauche, Ktre et date au dos (1984), bagueqe de l’encadrement peinte par l’arKste. PeKts accrocs (81/54 cm).
Collaborateur d’Alberto Giacomet à la fin de sa vie, proche de Bacon, Picasso et Marie-Laure de Noailles, Horacio Cordero (Buenos Aires, 1945, Monaco, 2014) a été l’un des représentants du mouvement de la Transvanguardia, avec Sandro Chia, Francesco Clemente et Enzo Cucchi.
Les yeux du rêve.
Paris, Christian Bourgois, 1978. In-8 br., couverture illustrée, 171 pp.
Édition originale, envoi à Alix de Gunzburg.
Les yeux MMDVI.
Paris, Christian Bourgois, 1976. In-8 br., couverture illustrée à rabats, 237 pp.
Édition originale, envoi à Alix de Gunzburg.
Metropolis.
Eau-forte originale imprimée sur Japon. Signée, titrée, datée 1975 et justifiée 15/30. Marge un peu froissée (30,4/42 cm).
Woman in Dream.
Toronto, Oasis, 1975. In-12 br., couverture illustrée (32 pp.).
Tirage à 225 ex. numérotés.
Picabia. Exposition du 5 juin au 5 juillet 1956.
Paris, Galerie Furstenberg, 1956. Carton d’invitation illustré, envoyé à M. Lucien Bitton.
Bateau ivre.
Paris, Éditions de la Banderole, 1920. In-8 br., couverture illustrée rempliée (22 pp.).
1ère édition séparée, ornée par 2 dessins inédits du poète. Tirage numéroté sur Hollande. 150
Village.
Huile sur toile monogrammée S. M. en bas à gauche et dédicacée à Léon-Paul Fargue sur la toile. Vers 1930, bel encadrement (46,5/32,5 cm).
Temps de parole.
In-4 en feuilles, couverture muette rempliée, étui en toile (22 pp.).
Poèmes inédits illustrés par 4 gravures de Roger Bertèmes tirées par René Tazé. Tirage à 60 ex. numérotés et signés.
L’Esquisse de l’encre de Chine.
Montigny-en-France, Voix Éditions, 2000. Leporello in-4, couverture à rabats, étiquette de titre collée sur la 1ère de couverture (16 pp.).
Tirage à 400 ex. numérotés.
Composition.
Pointe sèche originale sur papier teinté, justifiée H. C. 2/10 et signée au crayon en marge, sous encadrement (29/22 cm).
Une des 12 compositions de l’artiste pour Le Puits dans la tour de Radovan Ivsic (Paris, Éditions surréalistes, 1971), gravée pour le tirage de luxe de l’ouvrage et inversée par rapport au dessin d’origine. Reproduite dans Toyen, La Septième face du dé (Filipacchi, 1974, p. 44).
Introduction à la lecture de Benjamin Péret.
Paris, Le Terrain vague, 1965. In-4 en feuilles, couverture illustrée rempliée, emboitage en toile verte de l’éditeur, 192 pp.
Édition originale, un des 75 ex. de luxe réimposés et imprimés sur Hollande Pannekoek, contenant une pointe sèche originale signée de Toyen.
Freak Cars.
S. l., Les Frères Lumineux, 2003. Portfolio présenté dans un coffret en carton, 1er plat illustré (21/29 cm). A l’intérieur, 12 sérigraphies originales imprimées en couleurs (par Philippe Viala) et 1 feuillet de justification. Tirage à 150 ex. numérotés et signés.
Karl Marx Allee, Berlin-Est, 1990.
Photographie originale en noir et blanc, tirage gélatino-argentique d’époque, signature et informations manuscrites au dos (18/24 cm).
Ligne blanche.
Acrylique et collage de plaques de métal sur panneaux de bois parallèles et indépendants. Signature, titre et date (1996) au dos (20/16 cm).
Né en 1951 à La Boca del Tocuyo (Venezuela), René Ugarte s’est installé à Paris en 1975, où il a été assistant de Carlos Cruz-Diez et Jesús Rafael Soto. Ses œuvres ont été présentées aux salons Grands et Jeunes d’aujourd’hui et Réalités nouvelles.
L'Impossible. Poème, manifeste.
Avignon, Collection Mémoires, 2004. In-4 br., couverture imprimée à rabats (44 pp.), présenté dans une boite en carton avec titre et justification, contenant également différents documents : lithographies originales en couleurs, 3 catalogues de la Galerie Van Der Planken d’Anvers (Haven), 1 triptyque imprimé en offset couleurs, 17 cartes postales, 5 cartons de l’atelier, 1 offset couleurs sur papier fin et 1 carton d’exposition au Grand Cordel mjc (Croquis pour le Chant de la carpe de Gherasim Luca). Tirage à 40 ex. numérotés et signés.
Né à Paris en 1955, Tony Soulié présente sa première exposition en 1977 et ses premières installations de land art à partir des années 80 sur l’Etna, le Vésuve, à Hawaii ou dans les déserts de l’ouest américain. Dans les années 90 il commence à utiliser la photographie comme support de ses peintures, associée à des images de mégalopoles, de paysages insulaires ou désertiques. « La peinture de Tony Soulié n’entonne nulle plainte. C’est une chevauchée sans commencement ni fin. Le tragique et le pathos s’effacent dans la saga de l’aventure aérienne. Le monde est là, il est partout, il est égal en beauté. » Patrick Grainville, La Cavale des totems.
Les Dieux.
Avignon, Collection Mémoires, 2003. In-4 en feuilles. Présenté dans une boite en carton. Poésies illustrées par une peinture originale en 4 volets dépliants.
Né à Paris en 1955, Tony Soulié présente sa première exposition en 1977 et ses premières installations de land art à partir des années 80 sur l’Etna, le Vésuve, à Hawaii ou dans les déserts de l’ouest américain. Dans les années 90 il commence à utiliser la photographie comme support de ses peintures, associée à des images de mégalopoles, de paysages insulaires ou désertiques. « La peinture de Tony Soulié n’entonne nulle plainte. C’est une chevauchée sans commencement ni fin. Le tragique et le pathos s’effacent dans la saga de l’aventure aérienne. Le monde est là, il est partout, il est égal en beauté. » Patrick Grainville, La Cavale des totems.
Été.
Paris, Éditions Ermé, 1990. In-plano en feuilles. 8 sérigraphies originales, dont 1 sur double page. Tirage à 120 ex. numérotés et signés.
Né à Paris en 1955, Tony Soulié présente sa première exposition en 1977 et ses premières installations de land art à partir des années 80 sur l’Etna, le Vésuve, à Hawaii ou dans les déserts de l’ouest américain. Dans les années 90 il commence à utiliser la photographie comme support de ses peintures, associée à des images de mégalopoles, de paysages insulaires ou désertiques. « La peinture de Tony Soulié n’entonne nulle plainte. C’est une chevauchée sans commencement ni fin. Le tragique et le pathos s’effacent dans la saga de l’aventure aérienne. Le monde est là, il est partout, il est égal en beauté. » Patrick Grainville, La Cavale des totems.
City.
In-4 en feuilles, emboitage en toile jaune illustré de l’éditeur (14 pp.). Textes illustrés par 4 photogravures et lithographies de Tony Soulié, toutes signées. Tirage justifié à 99 ex.
Né à Paris en 1955, Tony Soulié présente sa première exposition en 1977 et ses premières installations de land art à partir des années 80 sur l’Etna, le Vésuve, à Hawaii ou dans les déserts de l’ouest américain. Dans les années 90 il commence à utiliser la photographie comme support de ses peintures, associée à des images de mégalopoles, de paysages insulaires ou désertiques. « La peinture de Tony Soulié n’entonne nulle plainte. C’est une chevauchée sans commencement ni fin. Le tragique et le pathos s’effacent dans la saga de l’aventure aérienne. Le monde est là, il est partout, il est égal en beauté. » Patrick Grainville, La Cavale des totems.
Paris.
Gouache originale sur bristol crème dans les tons jaunes et noirs. Datée 1963, titrée et signée au dos avec numéro d’inventaire (24,5/20 cm). Bon état.
« Le feu et les flammes traversent toute mon œuvre », disait Ruth Francken (Prague, 1924 – Paris, 2006), irréductible à tous les courants artistiques de son temps, restée célèbre pour sa chaise homme, directement moulée sur un modèle masculin (1970).
Paris.
Gouache originale sur bristol crème dans les tons noirs et blancs. Datée 1963, titrée et signée au dos avec numéro d’inventaire (24,5/20 cm). Bon état.
« Le feu et les flammes traversent toute mon œuvre », disait Ruth Francken (Prague, 1924 – Paris, 2006), irréductible à tous les courants artistiques de son temps, restée célèbre pour sa chaise homme, directement moulée sur un modèle masculin (1970).
Paris.
Gouache originale sur bristol crème dans les tons bleus. Datée 1963, titrée et signée au dos avec numéro d’inventaire (24,5/20 cm). Bon état.
« Le feu et les flammes traversent toute mon œuvre », disait Ruth Francken (Prague, 1924 – Paris, 2006), irréductible à tous les courants artistiques de son temps, restée célèbre pour sa chaise homme, directement moulée sur un modèle masculin (1970).
Le Point d’ironie.
Bremen, 1977–1982, puis 2012-2015, collection complète en 13 numéros (dont le 10, co-publié avec la revue Le Sphinx). Présentation sous diverses formes (chemise, enveloppe, sac en plastique, fascicule imprimé, boites en kraft ou en carton blanc). Multiples, photocopies, photographies, affiches, objets, dessins : contributions graphiques, écrites, postales sonores, musicales de Jacques Juin, Thierry Tillier, Gaston Criel, Vittore Baroni, Angela Riemann, Willy Buchholz, Jack Marlow, Lucien Suel, Theo Lesoula’ch, Colette Ruch, Robin Crozier, Bill Gaglione, Ben Vautier, Julien Blaine, Dick Higgins, Broutin, Joël Hubaut, puis Frédéric Acquaviva, Maria Faustino, Uwe Hässler, Virgile Novarina, Titi, Jean-Luc et Marie-Sol Parant, François Poyet, Véronique Serra, Gilbert Artman, Robert Wood, etc. Présenté à la XIIème Biennale de Paris en 1982, Le Point d’ironie fait partie des collections Small Press &. Communications (Weserburg), MACBA (Barcelona), Ruth & Marvin Sackner Archives for Concrete & Visual Poetry (Miami), Museu de Arte Contemporânea Serralves (Porto), Paul Getty Museum (Los Angeles), etc. Tirage à 100 ex. On joint différentes pièces additionnelles : maquettes originales d’éditions, photographies, tapuscrits signés, dont plusieurs poèmes de Gaston Criel, (Bon état général, une boîte un peu écrasée.)
Axe. Collection complète.
Anvers, Guy Schraenen éditeur, 1975-1976. 3 vols. in-4 en feuilles imprimés en sérigraphie et offset sur différents papiers, couvertures rempliées, emboîtage gris de l'éditeur avec titre de la revue au dos (100, 76, et 96 pp.).Contributions présentées sous la forme de dépliants, collages, objets, etc. Chaque numéro contient un disque de poésie sonore : Oeuvres d’Henri Chopin, Brion Gysin, François Dufrêne et Sten Hanson. Multiples, textes et autres interventions artistiques de Roy Adzak, Eduard Bal, Bram Bogart, Henri Chopin, Mirtha Dermisache, Bernard Heidsieck, Miko van Daele, Paul van Ostfalen, Maurice Benhamou, Hugo de Clercq, François Dufrêne, Plessi, Jo Delahaut, John Giorno, Sten Hanson, Françoise Mairey et Klaus Ritterbusch. Couvertures : pliage-sérigraphie de Jean Degottex, impression sur papier argenté de Brion Gysin, impression sur papier doré de René Guiette. Un des 370 ex. numérotés.
Le Séducteur, décor.
Belle gouache sur papier. Étude de décor pour Le Séducteur de Diego Fabbri (mise en scène de François Périer, Théâtre de la Michodière, 1956). Signée en bas à droite (34/50 cm). Bon état.
Dialogue in Yellow-Olive.
Huile sur toile monogrammée et datée (67) en orange en bas à droite, titrée et contresignée au dos (48/53 cm). Avec le numéro d’inventaire de la succession H. R. n°236). Voir Hans Richter par Roberto Sanesi, Nuova Foglio Editrice, 1978, où l’œuvre est reproduite (p. 128). Bon état.
Après ses années d’études dans les académies de Berlin et de Weimar, Hans Richter (Berlin 1888, Minusio, Locarno 1976) collabore à la revue Die Aktion. Blessé de guerre en 1916, il rejoint la Suisse où il rencontre Dada, et participe aux activités de De Stijl et du Novembergruppe. De 1923 à 1926 il anime la revue G (Material zur elementar Gestallung) avec Arp, Tzara, Hausmann, Lissitzky, Malevitch, Schwitters, Mies Van der Rohe et Theo Van Doesburg. Suivent le saccage de son atelier par les nazis en 1933, plusieurs étapes en Europe et le départ vers les États-Unis, où il réalise Dreams That Money Can Buy en 1947 avec Calder, Duchamp, Ernst, Léger et Man Ray.
Lobo, catalogue raisonné de l’œuvre sculpté, avec la collaboration de l’artiste.
Paris, Bibliothèque des Arts, 1985. In-4 cartonné, catalogue de l’éditeur (sans la jaquette illustrée) 189 pp. Avec 549 illustrations, et de nombreuses planches en couleurs. Bon état.
Contreblasons.
Paris, Alain-Paul Diaz et François Gleize, 2006. In-4 en feuilles (28 pp.), couverture repliée, étui bleu roi de l’éditeur en toile. Édition originale. Ex. unique. Tirage à 40 ex. numérotés sur vélin de Rives, tous différents, contenant 3 compositions originales à l’acrylique de Pascal Le Gras, artiste lié à la figuration libre et aux groupes britanniques The Fall et The Jazz Butcher (pour lesquels il a réalisé des pochettes ou des clips vidéo). Signé à la justification. Bon état.
Un couple.
Gouache sur papier signée en orange en bas à droite et datée 1971 (50/65 cm). Bon état.
Né en Italie en 1945, Carmelo Carrà étudie la peinture à l’Académie Nationale des Beaux-Arts de Buenos Aires avant de s’installer à Paris, où il vit et travaille depuis 1968. « En esa alegria de vivir, en ese humor sin malignidad, se centra la obra creadora de Carmelo Carrà. » Aldo Pelegrini, 1971.
Acrobatie.
Linogravure signée et datée 1971, tirage à 3 ex. (52,5/75 cm). Bon état.
Né en Italie en 1945, Carmelo Carrà étudie la peinture à l’Académie Nationale des Beaux-Arts de Buenos Aires avant de s’installer à Paris, où il vit et travaille depuis 1968. « En esa alegria de vivir, en ese humor sin malignidad, se centra la obra creadora de Carmelo Carrà. » Aldo Pelegrini, 1971.
Substitution.
Anvers, Guy Schraenen éditeur, 1977. In-8 (14 / 33 cm), 54 feuillets non paginés. Séries de compositions graphiques réalisées sur machine à écrire (inspirées par des exercices pour le piano). Un des 180 ex. numérotés et signés. Bon état.
3272 frottements de nuages.
Grande eau-forte polychrome imprimée sur Arches. Signée en marge, justifiée XX/XX ex. et titrée par l'artiste (63/90 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Sans titre.
Grande gravure imprimée sur Auvergne dans les tons mauves avec trois interventions oranges (pointe sèche et carborendum ?). Signée et justifiée au crayon (94,5/70 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
32 km de printemps.
Grande eau-forte à dominante rose imprimée sur Arches. Titrée, justifiée E. A. et signée en marge (63/90 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Paysage ourlé.
Grande lithographie polychrome imprimée sur Arches. Titrée, justifiée 33/100 ex. et signée en marge (63/90 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
La Grande frayère.
Grande eau-forte imprimée en noir sur Arches. Justifiée 1/30 ex., titrée et signée en marge. Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Sous le mufle d'une génisse.
Grande eau-forte à dominante brune imprimée sur Arches. Justifiée E. A., titrée et signée en marge (63/90 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Sans titre.
Grande pointe sèche imprimée en noir sur Arches. Justifiée 10/10 ex. et signée en marge. Bon état (petites traces de plis).
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Enfants d'eau sombre.
Grande pointe sèche imprimée en noir sur Arches. Titrée et signée en marge (63/90 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Jeunes filles aux faunes.
Grande pointe sèche et eau-forte imprimée en noir sur Arches. Justifiée E. A., titrée et signée en marge (74/66 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Les pêcheuses.
Grande eau-forte et pointe sèche en noir imprimée sur Arches. Justifiée E. A., titrée et signée en marge. Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Grande verseuse d'été.
Grande pointe sèche moutarde imprimée sur Arches. Justifiée 6/25 ex., titrée et signée en marge (63/90 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Sans titre.
Grande lithographie imprimée sur Arches par Mourlot, justifiée E. A. XXX/XL et signée au crayon sur la feuille. Bon état (74/63 cm).
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
Perche de près.
Grande eau-forte imprimée sur Arches dans les tons gris, rouges et bruns. Titrée, justifiée 5/20 ex. et signée en marge (106/75 cm). Bon état.
Compositeur, peintre, graveur et sculpteur, traversé en son temps par les questions écologiques et par un culte fervent de la nature, de ses vibrations et de son énergie, observateur de l’air, du gel et de la lumière, défini par la critique comme nuagiste ou paysagiste figuratif/abstrait, Jean Messagier (Paris 1920 - Montbéliard 1999) se tenait à l’écart des courants, des écoles et des formats imposés.
U. S. A 1976, bicentenaire kit.
Sérigraphie signée sur vélin de Rives. Tirée du livre-objet USA 1976 Bicentenaire Kit, co-réalisé avec Michel Butor et publié par Le Club du Livre, Philippe Lebaud éditeur en 1975. Dimensions : 28/38 cm. Bon état
Promenade de Chaville (Hauts-de-Seine) à Saint-Quentin-en-Yvelines et Port-Royal.
Paris, Young Dog Press, 1999. In-12 br., couverture imprimée, 26 pp. Édition originale illustrée par 3 gravures en couleurs de Jan Voss. Tirage à 50 ex. numérotés et signés.
La tête en bas.
Paris, Young Dog Press, 1997. In-12 br., couverture jaune imprimée, 22 pp. Carnets de voyages en orient. 3 griffonnies de Martial Raysse. Tirage à 50 ex. numérotés et signés, dont 20 H. C. (celui-ci n°VI). Bon état.
6 lettres et cartes postales à Michel Bulteau, dont 1 enrichie au collage.
« (…) J’ai vu (Harold) Norse, il paraît content. La télévision l’avait contacté pour une interview, mais quand son français s’avéra un peu chancelant, on l’a oublié, croit-il. (…) Merci pour les phrases poétiques. Elles m’encouragent à faire face à la réalité monstrueuse… J’ai aussi une traduction anonyme de 1869-70, de ‘La Papesse’. Peut-être serait-elle intéressante à voir. » Autres lettres : préparatifs pour un catalogue d’exposition à Beaubourg consacré aux surréalistes Grecs, remise des poèmes d’Adeline à Nancy Peters en vue d’une parution chez City Lights Books, projets de publication des poèmes de Michel Bulteau dans la revue franco-grecque Synthèses, évocation d’un livre consacré à la beat scene : Lamantia, Corso, Ted Joans, Taylor Mead, Ferlinghetti, etc. « une époque qui fut très riche du point de vue poétique et anthropologique. Au fond, on vit toujours sur cette époque de grande expansion et de vitalité – les années 60. » Bon état.
William S. Burroughs à Champ libre, 1974.
Photographie en noir et blanc, tirage argentique d’époque (17,8/24 cm). On reconnaît de gauche à droite : Gérard Guégan, William Burroughs, Raphaël Sorin et Alphonse Boudard avec son béret. Champ libre publiait alors l’édition française de Révolution électronique. (Traces de manipulation.)
La Vérité de parole.
Paris, Mercure de France, 1978. Édition originale, envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot à sa femme Nadia.
Quarante-cinq poèmes de Yeats, suivis de La Résurrection.
Paris, Hermann, 1989. In-8 br., couverture verte imprimée à rabats, 218 pp. Édition originale. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia. Bon état.
L’Arrière-pays.
Genève, Skira, Les Sentiers de la création, 1992. In-8 br., couverture illustrée à rabats.
Ce qui fut sans lumière.
Paris, Mercure de France, 1987. In-8 br., couverture imprimée, 108 pp. Édition originale. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia. Bon état.
Le Nuage rouge, essai sur la poétique.
Paris, Mercure de France, 1977. In-8 br., couverture imprimée, 373 pp. Édition originale. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia.
La Longue chaîne de l’ancre.
Paris, Mercure de France, 2008. In-8 br., couverture imprimée, 256 pp. Édition originale. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia.
Début et Fin de la neige, suivi de Là où retombe la flèche.
Paris, Mercure de France, 1991. In-8 br., couverture imprimée, 63 pp. Édition originale, 1/3000 ex. numérotés sur chiffon de Lana. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia.
Lieu et Destins de l’image, un cours poétique au Collège de France, 1981 - 1993.
Paris, Seuil, La Librairie du XXème siècle, 1999. In-8 br., couverture imprimée, 277 pp. Édition originale, envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia.
Rue Traversière.
BONNEFOY (Yves). Rue Traversière. Paris, Mercure de France, 1977. Grand in-8 br., couverture imprimée, 113 pp. Édition originale, 1/15 vélin mat supérieur marqués H.C. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia. Bon état.
Dans le leurre du seuil.
Paris, Mercure de France, 1975 Grand in-8 br., couverture marron imprimées rempliées, 127 pp. Édition originale, 1/300 vélin supérieur marqués H.C. Envoi à l’écrivain Alexandre Blokh, dit Jean Blot et à sa femme Nadia. Bon état.
Les Sept femmes de Gilbert le Mauvais, autre Heptaèdre.
Montpellier, Fata Morgana, Scholies, 1972. In-12 br., couverture jaune imprimée à rabats, 89 pp. 2 illustrations hors-texte en noir de Cesare Peverelli.
Portrait de l’artiste en jeune singe, caprriccio.
Paris, Gallimard, 1967. In-12 br., couverture imprimée à rabats, 233 pp. Édition originale, envoià Jean Blot et à sa femme Nadia. Dos bruni.
Histoire extraordinaire, essai sur un rêve de Baudelaire.
Paris, Gallimard, 1961. In-12 br., couverture imprimée, 262 pp. Édition originale, bel envoi : « Cher Alex, chère Nadia, merci, merci, merci pour toute cette moisson sur Freedomland. Je vais faire un montage de tout cela dans mon mobile. On passera peut-être à Genève à Pâques. Amitiés, Michel Butor, le 19 janvier 1961. » Dos un peu bruni.
La Terre intérieure.
Paris, Gallimard, 1976. In-8 br., couverture imprimée, 277 pp. Édition originale, ex. du S. P., envoi.
L’Homme dominé.
Paris, Gallimard, 1968. In-8 br., couverture imprimée, 224 pp. Édition originale, ex. du S. P., envoi.
Le Festin nu.
Paris, Gallimard, 1959. In-8 br., couverture imprimée, 254 pp. Première édition française, traduction d’Éric Kahane, un des 250 ex. H. C.
La Cavale.
Paris, Jean-Jacques Pauvert, 1965. Grand in-8 br., couverture imprimée, 476 pp. Édition originale sans mention, tamponné S. P.
Erica, nouvelles.
Paris, Seuil, 1994. In-8 br., couverture imprimée, 206 pp. Édition originale, envoi à Jean Blot.
Le Virage.
Paris, Gallimard, 1972. In-12 br., couverture imprimée à rabats, 165 pp. Édition originale, ex. du S. P. avec envoi à l’écrivain Jean Blot.
6 810 000 litres d’eau par seconde, étude stéréoscopique.
Paris, Gallimard, 1965. In-4 br., couverture imprimée, 281 pp. Édition originale, ex. du service de presse. Envoi et aquarelle bleue : « Pour Alex et Nadia Blokh (Jean et Nadia Blot), ce livre qu’ils sauront lire et comprendre, aimer, faire lire, comprendre et aimer. Michel Butor, Paris, le 8 septembre 1965. » Dos bruni.
BUTOR (Michel). Mobile, étude pour une représentation des États-Unis.
Paris, Gallimard, 1962. In-4 br., couverture imprimée, 333 pp. Édition originale, ex. orné d’un timbre américain sur la page de titre avec envoi aux mêmes. Dos bruni.
Cantilena, poèmes catalans et traduction.
Toulouse, Barcelona, 1937. In-8 br., couverture imprimée rempliée, 139 pp. Édition originale, lithographie d’Aristide Maillol.
Oui pour les ouïes.
Paris, Éditions PSI, 1969. In-4 en feuilles, couverture rempliée illustrée par un multiple en liège signé (16 pp.). Poème typographique, lettriste et hypergraphique en couleurs, illustré par 5 linogravures originales. Tirage à 20 ex. numérotés et signés à la justification. Bon état.
Recommandation pour une servante.
Lettre manuscrite a. s. sur papier au chiffre, adressée à une inconnue, 3 pp. (11,4/17,8 cm). « Ste Mesme, 13 novbre, Madame, la cuisinière aimée Chepreaux a servi, en effet chez moi du 2 février 1882 au 9 novbre dernier. Elle m’a soigné avec zèle dans une sérieuse maladie ; elle fait une cuisine très suffisante, elle ne manque ni de propreté, ni d’une certaine économie et je n’aurais que du bien à dire d’elle, si, depuis un an et demi, son caractère déjà difficile ne s’était aigri jusqu’à causer dans ma maison du trouble et même des orages. Son humeur inquiète et sa langue dangereuse l’avaient brouillée avec mes plus anciens et éprouvés serviteurs, c’était la guerre en permanence. Elle ne rêvait que de sorties, dévotions (je ne l’en blâme pas) mais aussi confréries, conciliabules ; son jugement s’altérait ; partout des complots, des persécutions … une noire manie. Mon service en souffrait trop, j’ai dû me séparer d’elle. Peut-être chez vous , madame, à Paris qu’elle aime passionnément, se trouvera-t-elle plus calme et réussira-t-elle à vous satisfaire. Je le souhaite et vous prie, Madame, d’agréer l’assurance de mes sentiments distingués. A. Maquet. » Restaurations avec bandes de scotch aux plis.
Saynètes.
Dessin original à l’encre de Chine sur feuille blanche avec ajouts au collage. Légendes éparses, signature en bas à droite, vers 1905 (31,5/43 cm). Après avoir travaillé pour différents journaux illustrés (Le Pèle-mèle, Polichinelle, Le Sourire, Le Frou-frou), Moriss (1874-1963) a abandonné le dessin pour se consacrer au music-hall à partir de 1940. (Dico-Solo).
Je vis de mon cerveau…
Dessin original à l’encre de Chine sur bristol blanc, signé à la dernière case, vers 1905 (24/48 cm). Un interrogatoire de police qui tourne mal, suite à une interpellation pour état d’ivresse.
Une âme peu charitable.
Dessin original à l’encre de Chine sur feuille blanche, rehauts au crayon bleu, signature en bas à droite, vers 1905 (31/23,5 cm). Légende en forme de dialogue en bas de page : « Moi, Mossieu, pour ne pas encourager la paresse, je ne donne jamais rien aux mendiants. – Pas même un morceau de pain ? – Pas même l’heure, Mossieu… »
Propositions.
2 lettres manuscrites autographes signées, vraisemblablement adressées à Émile Berr du Figaro, 1 p. chaque, sur feuilles à entête de la Revue des Deux mondes. « Paris, le 24 Janvier 1896, Cher Monsieur, J’aurai dans le prochain numéro XX* des choses très intéressantes, je le crois, pour le Figaro, mais l’auteur tiendrait, et moi aussi, qu’au cas où il vous conviendrait d’en faire un extrait dans le Figaro du 31 janvier, 24 heures avant la Presse, cet extrait fut en bonne place. Bien à vous, F. Brunetière. » « Paris, le 10 Juin 1896, Mon cher confrère, Dans sa livraison du 15 Juin la Revue publiera la suite de l’étude de Mr Etienne Lamy sur Le Quatre septembre. Il s’y trouve un très beau portrait de Jules Simon ante mortem, d’une ressemblance entière, et si je ne me trompe, d’une remarquable finesse de touche. Voulez-vous que je vous l’envoie pour le publier dans le Figaro de samedi matin, qui sera sans doute le jour des obsèques de XX *. S’il vous plait, et croyez-moi votre bien dévoué F. Brunetière. »
Remerciements.
Lettre manuscrite autographe signée adressée à Émile Berr du Figaro, 1 p. écrite à l’encre noire sur papier à entête du de la Bibliothèque de l’Arsenal, datée du 26 mars 1895. « Monsieur, C’est vous sans doute, qui, en l’absence de M Périvier fait passer mon article sur les Lettres de cachet en blanc. Je vous en remercie. Est-ce aussi vous que je dois remercier du changement fait au début et du charmant trait qui y a été piqué. La prochaine fois que j’irai au Figaro, je prierai M Périvier de vouloir bien me faire faire votre connaissance et vous prie, d’ici là, de vouloir bien agréer l’expression de mes sentiments les plus distingués. Frantz Funck-Brentano. » Feuille un peu froissée.
A propos du Musée de la guerre des Invalides.
Lettre manuscrite autographe signée, vraisemblablement adressée à Émile Berr du Figaro, 2 pp. écrites à l’encre noire. « Cher confrère, J’ai lu dans le Figaro le bel article que vous avez consacré au Musée militaire et vous adresse tous mes remerciements en même temps que mes sincères félicitations pour la façon si nette et si juste dont vous avez rendu notre XX *. Pardonnez-moi cette expression ambitieuse, mais je vous assure qu’elle est sincère. Le général XX, après avoir lu l’article m’a envoyé un télégramme pour me dire combien il était ravi ! L’affaire a été confiée par le ministre à un officier très peu cocardier qui n’a rien compris au but du musée et qui a conclu d’une façon peu favorable. L’idée n’a pas été enterrée, loin de là : mais on nous offre un local modeste dans les combles, aux Invalides, et pas un centime ! J’irai directement et out droit au ministre : votre article va faire du bruit et soutenir l’idée. Merci encore cher Monsieur, et croyez à mes sentiments de cordialité. Edmond Detaille. »
Défection.
Lettre manuscrite autographe signée certainement adressée à Émile Berr du Figaro, 1 p. écrite à l’encre violette. « Paris, ce 24 janvier 97. Mon cher ami, Je viens de recevoir une aimable invitation du Figaro pour l’annonce du 2 Février. J’aurais été heureux de m’y rendre, mais partant ce jour-là pour ma solitude de St Aigulf au bord de la Méditerranée, il m’est impossible d’y assister. Je tiens à vous remercier et à vous dire mes regrets. Bien sincèrement à vous, Carolus-Duran. »
Précisions.
Lettre manuscrite autographe signée sur papier télégramme bleu adressée à Émile Berr du Figaro, 1895, 1 p. « Cher Monsieur, Prenez ‘Regards historiques et littéraires’, page 29, ligne 14, à partir de : « Méthodes d’enseignement et de guerre, … » jusqu’à la fin du paragraphe. Bien à vous, E. Melchior de Vogüé. »
Défection à un spectacle.
Lettre manuscrite autographe signée, 1 p., vraisemblablement adressée au journaliste Émile Berr du Figaro à propos d’un spectacle donné par son frère George berr. « Mon cher confrère, Si nous avons disparu si vite de la soirée de samedi, c’est que Mme Berty relevait de coucher, qu’elle s’était levée pour venir jouer, et que, naturellement, je tenais beaucoup à ce qu’elle ne regagne pas son lit à une heure trop tardive. Pour mon compte, j’ai fort regretté de n’avoir pu rester jusqu’à la fin, car j’aurais voulu applaudir la petite comédie de votre frère, qui est un peu mon ami. Il paraît qu’elle est charmante. Tous mes compliments à l’auteur . Mr de Bodrys n’avait pas à nous remercier, quelle plaisanterie ! Le Figaro étant une maison d’artiste, est par conséquent une maison amie. Mme Berty se nomme Suzanne ; M. Gémier se nomme Firmin. Bien à vous G. Courteline. La Peur des coups est éditée chez Charpentier. »
Réponse à une invitation.
Lettre manuscrite autographe signée, 1 p. écrite à l’encre noire sur papier à entête de Haute-Maison, Sucy-en-Brie (S & O). « Cher ami, Je suis à la campagne et votre petit bleu d’hier (ayant voyagé par la rue de Douai) m’arrive aujourd’hui à Sucy. Cela vous explique mon absence et je ne puis vous envoyer que mes remerciements pour votre aimable invitation, et mes regrets et mes bien vives amitiés. Ludovic Halévy, mardi 24 sept 93. »
Remerciements et regrets.
2 Cartes de visite manuscrites autographes signées adressées à Émile Berr du Figaro. « Trois citations à l’ordre du jour et signées Émile Berr, c’est plus qu’il n’en faut pour rendre heureux (Albert Guillaume) et reconnaissant votre ami. Bravo et merci pour le complet pudique de la fin. C’est gentil d’avoir pensé au tourniquet. » 2ème lettre sur une carte verte illustrée d’une vignette, légendée Les Petits Ponts, Fontaine par Senlis, Oise. Adressée à Émile Berr du Figaro. « Lundi 26 sbre 12. Mon cher ami je suis encore campagnard jusqu’à fin novembre et j’aurai le chagrin de pouvoir être des vôtres avant décembre ! Ne comptez pas sur moi pour le 7 sbre. Avec tous mes regrets et mes meilleures amitiés. A. Guillaume. »
Remerciements.
Carte manuscrite autographe signée adressée à Edmond Lepelletier. « 28 rue Lacroix 17è. Mon cher Edmond Lepelletier, vous le voyez, vos souhaits, vos efforts si fraternement (sic) donnés en faveur de ma décoration se sont réalisés, ont abouti au jour d’aujourd’hui ! Tout arrive quand on a des amis qui luttent, qui ont toujours lutté avec vous. Je n’ai pas oublié dans le malheur, je n’oublie pas dans le bonheur. Je vous serre la main de tout cœur. A. Willette. Veuillez me rappeler le dessin que vous désiriez et que je n’ai pu faire en temps et lieu ? »
A propos de L’Enterrement d’une étoile et de Victor Hugo.
Lettre manuscrite autographe signée sur papier à en-tête de La Nouvelle revue, adressée au journaliste Émile Berr, 2 pp. (13,5/21 cm). « Paris, le 23 avril, Mon cher Berr, je publie dans le numéro 1er mai une nouvelle admirable d’Alphonse Daudet : L’Enterrement d’une étoile, puis un non moins beau prologue de A. Vaquerie Warwick cher Louis XI, inédit prologue de la nouvelle édition de Formosa. Comme les droits de reproduction sont interdits, je vous prie de n’en pas publier d’extraits, mais vous me feriez grand plaisir en en parlant mercredi dans la XX des lettres. Je vous parlerai, pour l’autre numéro de la revue, de la publication inédite que je fais de pages superbes de Victor Hugo. Mille sympathies, Juliette Adam. » On joint un mot manuscrit inscrit sur une carte de visite à l’encre noire (6,8/10,5 cm). « [Madame Adam (Juliette Lamber)] recevra de quatre à sept heures dimanche du sept mai au dix huit juin à cinq heures : ‘causerie’. De cinq à six heures les portes seront fermées dans le « salon où l’on cause ».
A propos d’Émile Zola.
Lettre manuscrite autographe signée, destinataire non identifié, 4 pp. (12,5/17 cm). « 2 janvier 09. Mille fois merci, cher ami, pour votre Zola que lu tout d’une haleine avec un plaisir infini. C’est un livre documenté, vigoureux et qui malgré peut-être une exagération d’enthousiasme, contient et résume tout ce qu’il faut penser touchant l’auteur des Rougon-Maquart. Mais que vont penser de vous les jeunes et les vieux apaches du nationalisme qui font éructer leurs solécismes ou leurs revolvers contre la noble image de Zola ? Vous avez montré la plus haute franchise et le plus fier courage en écrivant ce bel et dense in-octavo. Les gens qui osent ce qu’ils pensent méritent dans le monde où nous vivons, d’être glorifiés sans réserve. Je vous tends les mains et me sens, une fois de plus, infiniment glorieux de me dire votre ami. Vos souvenirs sur quelques points de détail ne sont pas exacts. Par exemple, dans le dîner chez Gervaise (L’Assommoir), ce n’est pas un gigot que Poisson découpe mais une oie. Gervaise, avant de se mettre à table donne des détails sur la bête, qu’elle a achetée au marché des Poissonniers, qui pèse 12 livres, qui a déjà rendu 2 bols de graisse, etc., etc. Plus tard, dans la nuit, quand toute la tablée est soule, tandis que ronflent les ivrognes, un chat fait craquer sous ses dents fières la carcasse de l’oie. Vous voyez que je vous ai lu attentivement. Je voudrais causer avec vous. J’ai à vous demander un conseil, peut-être un service. Vous plairait-il choisir un jour où nous pourrions nous trouver dans Paris. Une lettre portant la date du deux janvier doit apporter offrir des souhaits de bonheur et de gloire. Tous les miens à vous, mon cher ami. Mes deux mains, Laurent Tailhade, 83 rue l’assomption (16è). »
Remerciements.
Mot manuscrit a. s. inscrit sur une carte de visite du traducteur des Mille et Une Nuits (de la Faculté de Paris, Ancien Externe des Hôpitaux). « Soyez remercié, cher Monsieur Berr, de toute ma ferveur, pour votre si fidèle sympathie intellectuelle et votre vision sur l’œuvre qui a eu la bonne fortune de vous plaire. Et permettez-moi, à ma prochaine arrivée à Paris, de vous remercier autrement que par l’artifice ici scriptural. Votre tout acquis, J. C. Mardrus. »
Un délai.
Lettre manuscrite a. s., destinataire inconnu, 3 pp. écrites à l’encre noire sur double feuille de papier à lettre (11,4/17,8 cm). « Vendredi, Monsieur, Depuis que j’ai reçu votre visite j’ai beaucoup travaillé et cependant j’ai bien peur de n’avoir pas fini pour dimanche. J’ai mis plusieurs aquarelles contraires et je préfèrerais ne vous les montrer que terminées. Pouvez-vous me donner encore deux ou trois jours ? Je pense avoir fini jeudi prochain. Si vous voulez bien remettre votre visite à ce jour ou au dimanche suivant (si vous n’êtes libre que ce jour-là), je vous en serais très reconnaissante. Si au contraire vous êtes assez aimable pour venir me voir quand même, vous me trouverez toujours, même le jour de Noël, ce qui m’arrangerait encore mieux que le dimanche que vous m’avez fixé parce que cela me donnerait toujours un jour de plus. Si par hasard vous teniez à avoir votre aquarelle pour la fin de l’année, veuillez m’écrire un mot et je m’arrangerai pour en terminer une. Mais je tiens à ce que vous soyez content et je travaille avec le plus grand soin dans ce but. Veuillez donc, Monsieur, excuser ce nouveau retard, qui sera le dernier et croyez à mes sentiments de considération distingués. Madeleine Lemaire. »